2025, à nous deux maintenant !
Ca s'est passé en janvier dans la galaxie du bateau Café Joyeux ⬇️
Bravo Charlie ! 🥇
Finir un Vendée Globe, c’est déjà un exploit. Le gagner, c’est comment dire… une autre histoire ! Je crois que peu de performances dans le monde du sport sont comparables. La course au large nous pousse dans nos retranchements sur tant d’aspects : la durée des épreuves, l’inconfort extrême des bateaux, la rigueur nécessaire dans l’analyse de la météo et l’élaboration de la stratégie, la gestion du risque, le stress permanent, les réparations techniques en solitaire avec les moyens du bord, le danger omniprésent... et par-dessus tout : l’absence totale de filet de sécurité quand les choses tournent mal (et malheureusement cela arrive).
Il y a un vrai paradoxe dans le Vendée Globe : bien qu’il s’agisse d’une épreuve de très haut niveau, la palette des compétences à maîtriser est si large que même les plus grands champions ne sont pas les meilleurs partout. Tout est une question de compromis !
Mais cette année, le Vendée Globe a changé de dimension. Jusqu’ici, on disait souvent que c’était une course longue, un marathon plus qu’un sprint. Mais en 2024, pour gagner, il fallait partir à fond, accélérer, et ensuite lâcher les chevaux. D’ordinaire, ceux qui tentent ça finissent par tout casser. Mais cette fois, le niveau de préparation des bateaux et des marins était tel que… c’est passé.
“Le niveau est vraiment monté d’un cran”, disait Thomas Ruyant à son arrivée. Ce qui est sûr c’est que le Vendée Globe n’est plus un marathon. C’est un sprint autour du monde.
Cette année, la victoire est revenue à Charlie Dalin, qui avait déjà franchi la ligne en premier il y a quatre ans… sans pour autant repartir avec la coupe. Ce qui m’impressionne le plus dans sa victoire, ce sont les ressources mentales qu’il a dû aller chercher – avant le départ et tout au long de la course – pour réitérer un tel exploit, une deuxième fois.
Cela me rappelle une autre victoire magistrale : celle d’Armel Le Cléac’h en 2016, qui remportait enfin le Vendée Globe lors de sa troisième tentative, après avoir terminé deux fois deuxième (en 2008 derrière Desjoyeaux, en 2012 derrière Gabart). Une victoire arrachée à la persévérance.
Yoann Richomme, dauphin de cette édition, est un marin exceptionnel, probablement l’un des plus talentueux de sa génération (et au demeurant, très sympa !). Mais cette année, difficile de ne pas vouloir que Charlie l’emporte 🥹. Bravo à lui ! Ça fait rêver.
Bravo Clacla 🏅




Certaines routes qui mènent au Vendée Globe marquent plus de dénivelé que d’autres… Injustement débarquée par son sponsor après son dernier Vendée, Clacla a su rassembler ses forces et son courage pour rebondir. En quelques semaines, elle a retrouvé un sponsor et en moins de deux ans, elle s’est préparée et qualifiée pour cette épreuve ultime - prouvant au passage et de la meilleure des manières le tort de son ex-sponsor. Accusée ensuite à tort de triche, puis blanchie, elle est arrivée sur la ligne de départ telle une guerrière, le couteau entre les dents. Le tout en devenant maman au passage !
Son exploit ne s’arrête pas là : elle a ensuite régaté autour du monde au plus haut niveau, gagnant notamment son duel d'un mois et demie contre Samantha Davies, une autre légende féminine de ce sport.
Bref, Clacla c’est une vraie championne, à terre et sur l’eau. Et comme visiblement elle ne fait pas tout mal, j’essaie de m’inspirer d’elle !
Elle fait un grand honneur à la dynastie des 2e de la Mini Transat en série (dont on parle peu, mais il y a du beau monde) : parmi eux on trouve Clarisse Cremer donc mais aussi Charlie Dalin (himself!), Justine Mettraux (première femme cette année sur le Vendée), Stéphane le Diraison (double participant au Vendée Globe), et … moi 🥁! J’espère pouvoir marcher dans leurs traces jusqu’au bout 🙃


Avec les copains on attend l’arrivée de Tanguy et de Lazare avec impatience, il va y avoir une marée rose aux Sables d’Olonne la semaine prochaine ! 🩷🔥
Quelques nouvelles des GR 👟
Le 19 janvier, je prenais le départ de mon premier trail de l’année 2025. Oui, 18 jours après la nouvelle année, il était temps ! Il s’agissait du Trail des 2 Baies (T2B), soit 38km dans le sable des dunes du Touquet ! C’est la première fois que je mettais les pieds sur la côte d’Opale, c’est vraiment très joli ! Assez gris, tout de même, mais “gris joli”. Niveau course : beaucoup de relances, un terrain très meuble et la bonne distance pour s’entraîner à franchir le fameux “mur” des 30-35km.


Personnellement mon objectif sur ce Vendée Globe était double : (i) profiter de l’effet Vendée pour avancer un maximum sur la préparation de 2028 mais surtout (ii) profiter du manque d’entraînement de Tanguy, n’a pas couru plus de 18 mètres consécutifs depuis le 10 novembre dernier, pour pouvoir le mettre minable (et j’insiste) au moins pendant quelques semaines à son retour, le temps qu’il se refasse une condition physique.
Tanguy m’a lui-même chargé de lui organiser sa saison trail et de lui prendre ses dossards pour 2025 pendant son absence. Bien mal lui en prit : ce ne sont pas moins de 250km de dossards qui l’attendent à son retour😏. Et évidemment il n’est au courant de rien…
La tournée des Cafés Joyeux continue ! ☕
Je crois que c’est la première fois que je faisais un rendez-vous dans un centre commercial … mais il n’avait pas été choisi par hasard ! Quand on parle des Cafés Joyeux à Paris, on parle souvent d’Opéra, de Saint Philippe du Roule, du comptoir des Batignolles, des Champs-Elysées of course, mais rarement du Café Joyeux de … Parly 2 !
Je n’ai pas une passion dévorante pour les centres commerciaux, mais à Parly 2, on mange aussi bien que dans les autres Cafés Joyeux, et on y est aussi très bien accueilli ! Merci à toute l’équipe pour cette rencontre, vous êtes au top !
Merci Accor🪩
Il y a 2 semaines, les collaborateurs Accor étaient invités chez Les Folies Gruss pour leur soirée annuelle. Sébastien Bazin, entrant sur scène à dos de cheval, a pu renouveler ses vœux à ses équipes et partenaires. La soirée et son discours étaient tournés vers la célébration de la « rencontre » au sens large : ce qui unit, inspire et pousse toute une organisation comme Accor à aller de l’avant dans une nouvelle année, 2025, placée sous le signe de l’engagement.



Aux côtés de Yann, de certains équipiers joyeux et d’autres joyeux collègues, nous avons été surpris et très touchés d’entendre Sébastien Bazin mettre à l’honneur les Cafés Joyeux dans son discours devant plus de 1 500 collaborateurs. Il a longuement évoqué sa rencontre avec Yann (visiblement très ému), son admiration pour son engagement entrepreneurial et le succès des Cafés Joyeux. Il a aussi rappelé le soutien d’Accor au bateau Café Joyeux ces deux dernières années – ce fut là mon petit instant de gloire 🫠 !




Par un léger détournement d’usage, le Café Joyeux était servi pour l’occasion sous la forme d’un stand … à Espresso Martini. Et bien saviez vous que dans un Espresso Martini, il n’y a absolument pas de Martini ? Juste de la vodka, de la liqueur de café, du sirop de canne et un expresso (joyeux, en l’occurrence). C’est délicieux et sans aucun effet secondaire, à condition de ne rien boire d’autre.
Si on en est à discuter de recettes de cocktails, c’est qu’il est temps de rendre l’antenne… Merci d’avoir lu jusqu’ici, je vous tiens au courant pour la suite, en espérant pouvoir vous annoncer des joyeuses nouvelles très vite !
Avec 2 amis je vous prépare une petite surprise pour ces prochaines semaines 📽️ … Stay tuned ! Le matelas se gonfle petit à petit.
A bientôt ☕💛,
Nicolas